Trois ans après le succès international de son album « My One And Only Thrill », Melody Gardot revient avec un nouvel opus « The Absence ». Ses nouvelles compositions, écrites dans un esprit bresiliano-portugais sont le reflet d’expériences personnelles et de plusieurs voyages au Maroc, au Brésil. Le 20 octobre à 20h30. Théâtre Municipal Raymond Devos Place du Théâtre – Tourcoing Tarif: 23/26/30 euro(s). Tel. 03.59.63.43.63 http://www.tourcoing-jazz-festival.com

Depuis son premier album sorti en 2008, Melody Gardot s’est fait une place de choix dans le milieu du jazz vocal en côtoyant des artistes comme Herbie Hancock et en devenant une concurrente directe de Norah Jones.

En réalisant un premier album plutôt intimiste avec assez peu d’instruments, elle a pu séduire un large public grâce à une voix très douce et techniquement parfaite. Pour ce qui est du second, il s’inscrivait dans cette même continuité, voyageant toujours entre rythme jazzy, latino et quelques fois bluesy, tout en utilisant cette fois-ci une instrumentation plus orchestrale. C’est donc avec ce troisième album qui devrait être synonyme de consécration que la chanteuse a choisi d’égayer notre fin de mois de Mai. Tout d’abord, il faut savoir que cet album nommé The Absence est le résultat des nombreux voyages que la chanteuse a entreprit durant sa carrière. En effet, partant des États-Unis jusqu’en Europe en passant par l’Afrique du Nord et l’Amérique du Sud, Melody Gardot avec ce troisième disque met en alchimie les différentes cultures artistiques qu’elle a pu rencontrer. De plus, il est important de signaler que c’est elle qui a écrit toutes les paroles des 11 chansons qui composent l’album.

Lemanja, Iemanjá (au Brésil), ou Yemaya, Yemanja, est une divinité aquatique d’origine africaine. Plus précisément, elle est issue des traditions religieuses des Yorubas, où elle est également la protectrice des femmes (des femmes enceintes en particulier), et la mère de toute chose vivante.

Elle est l’orisha des eaux douces en Afrique, mais celle des eaux salées et de l’amour chaste au Brésil, où Oxum est l’orisha des eaux douces.