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Franz Liszt le plus romantique des compositeurs – Top 10 de ses œuvres en vidéo

Franz Liszt …

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Franz Liszt, “le Paganini du piano” et l’inventeur du “récital” !

Pianiste, compositeur, chef-d’orchestre, dandy, intellectuel et Abbé – a fasciné l’Europe du XIXème siècle. Enfant prodige, il suit les cours de Czerny et Salierià Vienne. Célèbre dès ses quinze ans comme virtuose, il révolutionne la technique de l’instrument et impose le récital pour piano seul en parcourant le monde avec ses transcriptions d’opéra, ses Années de Pèlerinage ou ses Rhapsodies hongroises. Avant 1830, entre Allemagne, Suisse, Angleterre ou France, Franz Liszt est connu et admiré dans toute l’Europe.

Comme compositeur, il ouvre de nouvelles voieset souhaite, selon ses mots : « lancer un javelot dans les espaces indéfinis de l’avenir ». Moderne et révolutionnaire, l’aventurier de la musique intègre à son langage ses nombreux voyages, les musiques populaires ou les trouvailles de ses contemporains. Entre transcendance digitale et dénuement spirituel, l’œuvre de Franz Liszt est à l’image de sa générosité.

 

 

La Campanella par Evgeny Kissin

La Campanella (La Clochette en italien) est une célèbre pièce pour piano en Sol dièse mineur, la troisième étude de la série des Grandes études de Paganini composée par Franz Liszt. Elle est basée sur le dernier mouvement du Concerto pour violon nº 2 de Paganini en Si mineur. Liszt avait déjà repris ce même thème dans son œuvre Grande Fantaisie de bravoure sur La Clochette.

Représentative de la technique pianistique de Liszt, son exécution est extrêmement difficile et requiert énormément de rapidité, de dextérité et de souplesse.

 

 

L’unique Sonate : La Sonate en Sib mineur par Yuja Wang

Franz Liszt n’a écrit qu’une sonate mais elle suffit à faire de lui un des plus grands représentants de cette forme musicale. La Sonate en si mineur de Liszt se caractérise surtout par sa structure éclatée: elle combine de manière libre la forme sonate (exposition/développement/ré-exposition) — en conservant la dialectique des thèmes A et B — et le genre sonate (premier mouvement/mouvement lent/scherzo/final).
Pour renforcer l’unité de sa composition, Liszt utilise la technique de transformation thématique. Son organisation n’est donc pas anarchique, comme l’affirment certains critiques qui n’y voient qu’une fantaisie déguisée, mais inscrite en profondeur. Comme dans le poème symphonique, c’est l’esprit qui prévaut et non la lettre. Le débat existe toujours quant à savoir si la Sonate en si mineur ne serait pas une Faust-Symphonie pour piano, mais il est douteux que Liszt se soit simplement contenté de reproduire pianistiquement le schéma du poème symphonique.

 

 

Mephisto Watz par Khatia Buniatishvili

Les Mephisto-Valses sont quatre valses composées par Franz Liszt en 1859-62, 1880-81, 1883 et 1885. Les deux premières ont été écrites pour orchestre symphonique, puis arrangées pour piano seul, piano à quatre mains et deux pianos, alors que les deux suivantes sont consacrées au piano seul.

La première est la plus populaire. Fréquemment jouée en concert et enregistrée, cette valse est exemplaire du genre musique à programme, reprenant un épisode de l’histoire du Faust de Nikolaus Lenau.

 

 

 

 

Rêves d’amour par Alberto Lodoletti

Liebesträume (Rêves d’amour en français), est un recueil de trois œuvres pour piano composé par Franz Liszt et publié en 1850.

Liebesträume fait souvent référence au No. 3, la plus connue des trois pièces. Elles sont composées pour accompagner des poèmes de Ludwig Uhland et de Ferdinand Freiligrath. Deux versions apparaissent lors de leur publication. Une pour voix et piano et une transcription pour piano solo.
Les poèmes décrivent trois différentes formes d’amour. L’ Hohe Liebe (Amour exalté) de Uhland est un amour saint ou religieux.

Le deuxième évoque l’Amour érotique, “Gestorben war ich” (littéralement “j’étais mort“) – Mort est ici une métaphore faisant référence à la petite mort (“J’étais mort de la volupté d’aimer; je gisais enterré dans ses bras; je fus réveillé par ses baisers; je vis le ciel dans ses yeux.“).

Le poème de Freiligrath, celui du fameux nocturne, parle de l’Amour mature (“O lieb, so lang du lieben kannst“, “Aime aussi longtemps que tu peux aimer“).

 

 

Consolation par Tiffany Poon

En ré bémol majeur et d’abord marqué comme Lento Placido, son style est similaire à celle de Chopin dans ses Nocturnes, en particulier, elle semble avoir été inspirée par le Nocturne op. 27 n ° 2 . La similitude entre les deux œuvres a été interprété comme un hommage à Chopin, mort en 1849, un an avant les Consolations. D’autres Consolation sont également inspirées de Chopin: Les Polonaises, la Berceuse, la Mazurka brillante, et ses Ballades.

 

 

Rhapsodie Hongroise n°2 par Valentina Lisitsa

Franz Liszt a composé une vingtaine de Rhapsodies, des pièces folkloriques et courtes (3 à 14 minutes). Les plus célèbres sont les dix-neuf Rhapsodies hongroises, écrites sur des airs traditionnels tziganes dont les plus remarquables sont la mélodieuse cinquième Héroïde-Élégiaque, la virulente sixième, la neuvième (Le Carnaval de Pest). Les plus célèbres sont sans doute la deuxième et la quinzième (dite Marche de Rákóczy). On connaît également une Rhapsodie espagnole et une Rhapsodie roumaine.

 

 

La Tarentella par Erik Reischl

Pièce pour piano en sol majeur, composée en 1840 sous le titre de Tarentelle napolitaine et revue en 1860, La Tarentelle est jouée presto. Sa durée est de 8 à 10 minutes. Moins redoutable qu’il n’y paraît, elle requiert tout de même une technique pianistique avancée.

 

 

Les Années de Pèlerinage par Evgeny Kissin

Cycle composé de trois années : la première se déroule en Suisse, les deux autres en Italie. Toutes sont profondes et littéraires. Il comporte les premiers Jeux d’eau pour piano composés à et inspirés par la villa d’Este de Tivoli, idée que reprendront plus tard Maurice Ravel et Claude Debussy.

Chef d’œuvre littéraire, pianistique et d’impressionnisme. Les difficultés sonores pour le pianiste sont plus fortes que celles des doubles sons : tierces staccato en arpèges et gammes, sauts, traits parallèles rapides, trémolos et trilles à deux mains. Les Jeux d’eau de Ravel en descendent directement. Les pianistes Cziffra, Lazar Berman et Jorge Bolet en ont laissé des interprétations magistrales.

 

 

Un Sospiro par Lang Lang

Etude n° 3 en Ré bémol majeur, elle porte principalement sur les croisements de main. Ce changement ne doit pas influer sur la mélodie, son phrasé et ses accentuations. La mélodie est paisible et ample et s’élève de manière souveraine, aérienne et lyrique. La dynamique varie beaucoup au cours de la pièce. Un Sospiro est un arrière-plan flou où vient se superposer une mélodie écrite sur une troisième portée. Il est dit que ce titre (Un Sospiro) n’ait pas été donné par Franz Liszt.

 


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Partitions de Franz Liszt
1824 (vers 1824), 8 Variations, Paris, Erard 1824-1825
1825, Allegro di bravura, Paris, Erard ; Vienne, Diabelli 1825
1825, Rondo di bravura, Erard 1825
1826, Étude… en 12 exercices, Paris, Boisselot 1826
1831-1835, Duo ou Sonate pour violon et piano sur des thèmes deChopin, Peer, Hambourg 1964
1833, Symphonie fantastique de Berlioz, transcription pour le piano, Schlesinger 1834
1834, Apparitions, Berlin, Schlesinger 1835
1834, Harmonies poétiques et religieuses, dans «Gazette Musicale de Paris» (23) 1835 [version définitive, 1845-1852), 10 pièces, Leipzig, Kistner 1853] Invocation ; Ave Maria ; Bénédiction de Dieu en solitude ; Pensées de la mort ; Pater Noster ; Hymne d’un enfant sur son réveil ; Funérailles ; Miserere (d’après Palestrina) ; n° 9 ; Hymne d’amour
1835 (vers 1835), Grand Duo concertant pour violon et piano sur la romance de M. Lafont, Schott 1852
1835-1836, Album d’un voyageur, 19 pièces, le cycle complet : Haslinger 1842
1836, Grande Valse di bravura (Le Bal de Berne), Leipzig, Hofmeister ; Paris, Latte 1836 [version définitive : n° 2 des Caprices-Valses, Vienne, Haslinger, et Schlesinger 1852]
1837-1865, Symphonies I-IX de Beethoven, transcription pour le piano, Breitkopf & Härtel 1865
1838, 12 Grandes Études, Haslinger, et Milan, Ricordi 1839
1838 (S 219), Grand Galop chromatique, Breslau, Grosser 1838.
1838, 6 Études d’exécution transcendante d’après Paganini, Haslinger 1840 : n° 1 en sol mineur ; n° 2 en mi bémol ; n° 3 en sol dièse majeur ; n° 4 en mi majeur ; n° 5 en mi majeur ; n° 6 en la mineur
1839-1849 (S 161), Années de pèlerinage d’après l’ Album d’un voyageur (Deuxième année, II Italie, 7 pièces dont la Fantasia quasi Sonata après une lecture du Dante ; supplément Venezia e Napoli, 3 pièces) II 1858, supplt 1861
1840, Heroischer Marsch im ungarischen Styl, Berlin, Cranz 1840
1840, Magyar Dallok-Ungarische National-Melodien (cahier I-IV) n° 1-2, Haslinger 1840
1842-1850 (S 260), Préludes et fugues pour orgue de J.S. Bach, transcription pour le piano, Leipzig, Peters. Grand prélude et fugue en la mineur
1844-1875, Seconde Marche hongroise, Schlesinger, 1844, 1876
1845-1853 (S170) , 2 Ballades, Kistner 1849 et 1854. Ballade n° 1, Le Chant du Croisé en ré # majeur — Ballade n° 2 en si mineur, première version — Ballade n° 2
1846 (S 244), Rhapsodies hongroises, n° 10-17, Haslinger 1847 [les n° 18-21(1846-1847) n’ont plus été publiés sous cette forme ; n° 20 publié comme opus posthume, sous le titre apocryphe de Rhapsodie roumaine, Vienne, Universal Edition 1936 ; 2° cycle des Rhapsodies hongroises, en partie versions définitives : I-II, 1847, Leipzig, Senff, 1852 ; III-VII (1851-1853), Haslinger 1853 ; VIII-X (1851-1853), Mayence, Schott 185 ; XI-XV (1851-1853), Schlesinger 1853] — Rhapsodie Hongroise n° 8
1846, Drei Märsche von Franz Schubert 1. Trauermarsch ; 2. Allegretto Fuocoso ; 3. Reitermarsch
1847-1848, Glanes de Woronince, Kistner 1849
1847-1860 (S 480), 6 chants polonais de Frédéric Chopin transcrits pour le piano. Le souhait de la jeune fille — Mes joies
1848, 1854, Les Préludes, poème symphonique d’après les chœurs composés en 1844-1845 pour les poésies de J. Autran (la méditation de Lamartine a été ajoutée ultérieurement), Breitkopf & Härtel
1848, 1857, Ce qu’on entend sur la montagne, poème symphonique d’après V. Hugo, Breitkopf & Härtel 1857
1848, 3 Études de concert – Caprices poétiquesKistner 1849
1848-1855 (S 160), Années de pèlerinage d’après l’ Album d’un voyageur (Première année, Suisse, 9 pièces), Schott, I 1855. Pastorale
1849 (S 172), 6 Consolations, Breitkopf und Härtel 1851. Consolation n° 2 (S 172 II) ; Consolation n° 3 (S 172 III)
1849, 1857, Tasso, Lamento e Trionfo, poème symphonique d’après Goethe et Byron, Breitkopf & Härtel 1856
1849, Grand Solo de concert, Breitkopf und Härtel1851 [version pour 2 pianos sous le titre Concerto pathétique, Breitkopf und Härtel 1856]
1849 (S 367), Grande Polonaise brillante pour piano et orchestre. Version à 2 pianos (piano 2 = orchestre)
1850 (S 541), Liebesträume, « Rêves d’amour », 3 nocturnes, Kistner 1850 [transcription par Liszt des Drei Lieder] Liebestraum n° 3 (S 5413)
1850, Fantaisie et fugue sur le choral « Ad nos, ad salutarem undam » de Meyerbeer, pour otgue, Breitkopf & Härtel, 1852
1850, 1854, Héroïde funèbre, poème symphonique, seul mouvement réalisé de la Symphonie révolutionnaire, Breitkopf & Härtel
1850, Fantaisie et fugue pour orgue, sur le choral « Ad nos, ad salutarem undam » (Thème repris du Prophète de Meyerbeers), Breitkopf & Härtel
1850, Valse-impromptu, Schuberth 1852
1850-1855, P rometheus poème symphonique d’après les chœurs composés pour le poème de Herder, Breitkopf & Härtel
1851, 12 Études d’exécution transcendante, Breitkopt und Härtel, Leipzig 1852 : n° 1, Prélude ; n° 2, Fusées ; n° 3, Paysages ; n° 4, Mazeppa ; n° 5, Feux follets ; n° 6, Vision ; n° 7, Eroica ; n° 8, Wilde Jagd ; n° 9, Ricordanza ; n° 10, Appassionata ; n° 11, Harmonies de Soir ; n° 12, Chasse Neige
1851, 1854, Mazeppa, poème symphonique présenté avec une poésie de V. Hugo, Breitkopf & Härtel 1856
1851 (S223), 2 Polonaises, Senff 1852 – Polonaise en mi majeur
1851, 6 Grandes Études de Paganini, Breitkopf und Härtel 1851
1851 (S 366) transcription symphonique de la Fantaisie en ut majeur « Wandererphantasie », de Schubert, Vienne, Spina 1857 — version à deux pianos (piano 2 = orchestre)
1852, Ab irato, Schlesinger 1852
1852 (S 427), Soirées de Vienne, Valses-caprices d’après Schubert, Vienne, Spina 1853 : n° 1 ; n° 2 ; n° 3; n° 4 ; n° 5 ; n° 6 premièreédition ; n° 6 seconde édition ; n° 7 ; n° 8.— autre n° 7
1852 (S 123), Phantasie über ungarische Volksmelodien pour piano et orchestre. Publié en 1854. Version 2 pianos (piano 2 = orchestre)
1853 (S 178), Sonate en si min, Breitkopf und Härtel
1862-1863, 2 Konzertetüden : 1. Waldesrauschen, « Dans les bois », 2. Gnomenreigen, « Ronde des lutins », Stuttgart, Cotta 1863
1854, Orpheus, poème symphonique, Breitkopf & Härtel
1854, 1857, Eine Faust-Symphonie in drei Charakterbildern, d’après Goethe, J. Schuberth & C°, Leipzig 1861. Composé d’août à octobre 1854 sans le chœur final ajouté en 1857. Créé le 5 septembre 1857 à Weimar sous la direction de Liszt. Version pour deux pianos par Liszt en 1856. [composition de l’orchestre : 3 flûtes, (Piccolo), 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 trombones, tuba, timbales, cymbales, triangle, harpe, orgue, cordes, ténor soliste, chœur d’hommes (dans la seconde version). Environ 70 minutes pour la seconde version (avec choeur)]
1855, 1856, Symphonie pour la Divine Comédie de Dante, Breitkopf & Härtel, Leipzig 1859. Composé de l’été 1855 à npvembre 1856 — Créé le 7 novembre 1857 au Théâtre royal de Dresde sous la direction de Liszt — Version pour deux pianos en 1856-1859 [composition de l’orchestre : 3 flûtes (3ème flûte piccolo), 2 hautbois, 2 clarinettes, clarinette basse, 2 bassons, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, tuba, 4 timballes, cymbales, grand tambour, tamtam, 2 harpes, harmonium, cordes, chœur de femmes ou d’enfants (sopranos et altos), Court solo d’alto. Durée environ 45 minutes]
1855, 1857, Hunnenschlacht «La Bataille des Huns», poème symphonique d’après une toile de Kaulbach, Breitkopf & Härtel 1861
1855, Prélude et fugue sur le nom de B.A.C.H. pour orgue, (seconde cersion 1870), W.C. de Vletter, Rotterdam 1855 ; Schuberth, Leipzig 1870
1857, Die Ideale, poème symphonique d’après Schiller, Breitkopf & Härtel 1858
1858, Hamlet, poème symphonique, Breitkopf & Härtel 1861
1859-1860, Mephisto-Walzer, (1859-6o), version pour piano du n° 2 des Deux Épisodes du Faust de Lenau, Schuberth 1862
1859 (S 652), Totendanz, paraphrase sur le Dies Irae pourpiano et orchestre. Édité en 1865. Version pour 2 piano (piano 2 = orchestre)
1860, Deux Épisodes du Faust de Lenau, Breitkopf & Härtel, Schuberth, 1865 et 1866
1862, Évocation à la Chapelle Sixtine, « Miserere » d’Allegri et « Ave venin », corpus de Mozart (1862), Erfurt, Kürner 1865
1863, 2 Légendes pour piano: 1. Saint François d’Assise. La Prédication aux oiseaux ; 2. Saint François de Paule marchant sur les flots, Pest, Rezsavülgyi 1866
1863, Rhapsodie espagnole, Leipzig, Siegel 1867
1863, Variations pour orgue sur la basse continue du premier mouvement de la cantate « Weinen, Klagen » du Crucifixus de la messe ne si mineur de Bach, Körner, Erfurt. 1865
1864 et 1862, Berceuse, Haslinger 1854, et Leipzig, Heinze 1865
1865 (S 117) Marche de Rákóczi pour orchstre
1867-1877, Années de pèlerinage III, 7 pièces dont Les Jeux d’eau d la Villa d’Este, Schott 1883
1868, Fantaisie et fugue en sol mineur pour orgue de J.S. Bach, transcription pour le piano, Berlin, Trautwein 1872
1870 (S 608), Marche de Rákóczi arrangée pour piano à quatre mains – version pour piano deux mains.
1872, Impromptu, Breitkopf & Härtel 1877
1872, Epithalam zu E. Reményis Vermdhlungsfeier pour violon et piano, Tàborszky & Parsch 1872
1874-1876 (S 186), Weihnachtsbaum ( Arbre de Noèl), 12 pièces, Berlin, Fürstner 1882 : 1. Psallite – 2. O heilige Nacht — 3. Die Hirten an der Krippe (In dulci jubilo) — 4. Adeste fideles (gleichsam als Marsch der heiligen drei Könige) — 5. Scherzoso — 6. Carillon – Réveille-Matin (Wecker) — 7. Schlummerlied — 8. Alt-provenzalische Weihnachtslied — 9. Abendglocken — 10. Ehemals — 11. Ungarisch — 12. Polnish
1875 et 1878, 2 Élégies, Leipzig, Kahnt 1875 et 1878
1876 (S 555), Danse macabre pour piano d’après l’œuvre de Camille Saint-Saëns —
1879, Sarabande et Chaconne d’après « Almira » de Haendel, Kistner 1880
1879, Missa pro organo lectarum celebrationi missarum adjumento inserviens (Messe pour orgue), Kahnt, Leipzig 1880
1880, Romance oubliée pour alto, violon ou violoncelle, Simon, Hanovre, 1881
1881 (S 215 I), Valse oubliée n° 1, Berlin, Bote & B., 1881
1881 (S 199), Nuages gris, Breitkopf & Härtel, 1927
1881, Zweiter Mephisto-Walzer, version pour piano d’après l’original pour orchestre, Fürstner, 1888
1882 et 1883, Valse oubliée n° 2 et n° 3, Bote & B., 1884
1882, Czárdás macabre, Londres, Schott, 1952 [autre version éditée par I. Szelényi, Budapest, Editio Musica, 1955]
1882, Rhapsodie hongroise n° XVI, Budapest, Tàborszky & Parseh.1882
1882, La lugubre gondola pour violon et piano
1883, Requiem pour orgue, Kahnt, Leipzig 1885
1883, Dritter Mephisto-Walzer, Fürstner, 1883
1883, Mephisto-Polka, Fürstner, 1883
1883, Am Grabe Richard Wagners, quatuor à cordes et harpe ad libitum
1884, 2 Czárdás : 1. Czárdás obstinée, 2. Allegro , Tàborszky & Parsch, 1886
1884, Introitus Körner, Erfurt 1887
1884-1886, Portraits hongrois historiques, Budapest, Uj Zenei Szenile 1956
1885, Bagatelle sans tonalité, découverte par I. Szelényi, Editio musica 1956
1885, Preludio funèbre, Breitkopf & Härtel 1927
1885, Rhapsodie hongroise n° XIX, d’après les Czárdás nobles de K. Abrànyi, Tàborszky & Parsch 1886
1885, Rhapsodie hongroise n° XVII et n° XVIII [ n° XVII Tàborszky & Parsch 1886 ; n° XVIII Rdzsavülgyi 1885]
1885, Trauer-Vorspiel und Trauer-Marsch, Breitkopf & Härtel 1887
1885, Valse oubliée n° 4, Uj Zenei Szemle 1955
1885, Vierter Mephisto-Walzer (1885), Londres, Schott 1953 ; Uj Zenei Szemle 1956